LES FEUILLETS D'ARRIERE SAISON

Publié le par FODIL

 

Avertissement

 

          Les feuillets d’arrière-saison, est un recueil de poèmes, voire un courrier formulé dans un style inédit du livre de chevet, duquel je vous expose une opportunité, des évènements intermittents vécus dans mon jardin secret, dont je voudrais les révéler à travers cet ouvrage enfin libéré, agrémenté entre autres par trois chapitres dissemblables. 

          Les feuillets d’arrières saison sont des morceaux choisis   couvrant des moments forts éprouvés, qu’à tout âge nous pouvons encore affectionner car le goût n’a pas de limite, tant que la vie fait trépider nos cœurs et à chaque émotion l’écriture est là pour apaiser les sentiments négatifs de l’auteur, les émotions que l’on perçoit violemment, comme, la colère, la déception, le chagrin, tout cela se convertissent par des émotions délectables, des sentiments criants sur nos visages. Comme la joie, l’émerveillement, l’enthousiasme de l’amour. L’auteur « égo » que vous allez côtoyer ses émotions vous mènera par cet exergue littéraire dans son jardin secret, à visiter des étapes dans une chronologie évidente de chacune de ses poésies, marquée en cela par une date et le lieu de sa naissance, tel qu’un être à part entière qui connait ses sautes d’humeur et traverse les états d’âme et les réflexions bienfaisantes. Elle nettoie, débarrasse l’être de ses négativités, ainsi qui le soulage et le défoule. Je vous invite à vivre ces émotions avec la force de l’amour de l’amitié, à travers de métaphores que vous avez vécu comme, vous pouvez lire entre autre des sujets illusoires d’un tel ou tel personnage qui joue et qui perd, victime de la nature et de l’ingratitude humaine. Un traité d’observateur discret, un témoignage débonnaire et agréable prodigué par un modeste panégyriste de bonne aventure. Venez et entrez dans ce monde mystérieux dont je vous présente par des récits illustrés, et laissez-vous porter par le jeu de mots qui n’en font qu’à leur tête de mes sentiments éprouvés. L’amour se gîte parfois, Il se dévoile par moments, mais il ne faut pas que le narcissisme l’emporte sur la sagesse. Cette désinvolture est parfois démesurée qu’elle peut à son tour inciter une grande souffrance à notre entourage immédiat. Certes, être aimé est un besoin naturel, mais c’est aussi une vieille blessure que l’on traîne en soi et qu’à chaque fois on s’offusque, on déchoit et on se relève ; après avoir constaté que le scénario affectif se reproduit continuellement avec ses même caprices à vouloir rencontrer l’idéal d’un mythe éternel tel que la ‘’fleur edelweiss ‘’ qui ne meurt jamais. Je ne crois pas que le parfait de cet idéal existe, il restera toujours sur le plan métaphysique cette utopie qui chaque fois nous étal ses illusions par lesquelles nous essayons de réaliser. On récidivera toujours, de chercher cet idéal parfait.

          Le matérialisme infecte notre vie quotidienne, il s’installe parmi nous et nous dicte l'utopique, d’une ambition démesurée, parfois pervers ; quitte à ballotter le bonheur des autres. Cet instinct nous amène incontestablement à la monstruosité, si nous ne contrôlons pas notre démarche quotidienne. Il faut que notre démarche soit à la fois prudente dans un raisonnement dialectique par rapport à nos besoins sur le plan de l’équilibre mental.

 

          Dans le premier chapitre, Je propose un flash-back, dégageant les faits d’une chronique concise, sur les feuilles d’arrière-saison. Je dégage par cette convenance, des thèmes perceptibles que j’ai consentis pour l’ensemble de mes récits et/ou se définis une confession plénière, émise sous forme, de testament inné, lié aux attributs de mon personnage.


 Les poèmes professés, au second chapitre, personnifient des thèmes qui incarnent l’amitié, et l’amour de l’humain, et celui de notre prochain. Cette propension qui sustente à ce jour mon inspiration, demeure le pivot de toutes mes convictions, - que je tiens à raconter en toute liberté au nom de l’amitié et toute sa force, - celles que j’ai empreintes dans une allée royale et que je l’immobilise dans mon esprit. Une obsession en quelque sorte qui n’est autre que le fruit d’une vieille blessure, d'un amour maternel brisé durant mon enfance, lequel amour je n’ai pas eu le pouvoir de le savourer. 

 

          Dans le troisième chapitre, j’ai joint des lettres de témoignage d’amis notables incarnant différentes catégories socioprofessionnelles, et de surcroît assidu à la lecture de mes poèmes et qui ont tous donné   chacun de son côté son appréciation selon la façon dont il a saisi le texte qu’il a choisi.

 

          Dans le quatrième et dernier chapitre, j’ai jugé utile de joindre comme mesure d'accompagnement, un petit lexique dans lequel j’ai répertorié de vieilles locutions françaises, dont j’ai fait usage, et que j’ai choisi, sciemment par application à la langue du Val de Loire : Il vous aidera sans doute, à mieux vous détendre dans votre lecture, et vous évitera le dérangement une fois que vous serez installé dans votre lit en fin de soirée.

 

         Ce lexique mis à votre avantage, vous permettrez de mieux saisir le sens réel des expressions, au fur et à mesure que vous avez le temps à les découvrir dans votre lecture, et au-delà de ces locutions assignées, des terminologies de natures différentes, voire exogènes aux expressions françaises, ont eu leur part d’être sériées alphabétiquement, avec pondération, et au regard de chacune d’elles, une exégèse fidèle et illustrative vous éclairciras chaque thème évoqué. Vous aurez par cette circonstance, de connaître des noms propres, qui ont marqué l’histoire, antique et contemporaine ainsi que des hommes illustres et des Saints Gentilshommes, appartenant à notre culture, jusqu’ici non appréciés à leur juste valeur. 

 

                      L’Auteur

            Echchikh Adda

           Alias Fodil

 

 

 

 

 

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Publié dans essayiste et poete

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